Finalement les gens qu'on croyait au dessus de la mêlée se révèlent être des marionnettes à la solde des lobbies extérieurs et prennent résolument le train des ratifications supranationales en jetant sans vergogne le principe de subsidiarité qui garantit La souveraineté même de Ndoumbélane. Au nom d'un supranationalisme béat, on devrait alors accepter selon Me Assane Dioma, devenu Assane Diomi au détour d'une commande supranationale, que les homosexuels aient les mêmes droits de se marier et de s'afficher partout bras dessus dessous, dans le pays de Maodo et de Bamba, parce que le Sénégal à ratifié la plupart des protocoles des Nations Unis.
Parfois nous avons même réussi la prouesse de signer les conventions et protocoles parmi les premiers pays au monde, et quand on sait que le mariage pour tous obéit bien à la logique libertaire et aux principes sacro-saints des droits de l'homme que défend si bien Assane Diomi, on peut se faire une idée de la logique de nihilisme dans laquelle cet icône que je croyais si vertueux, essaie de nous conduire.
Assane "Diomboul dara" finalement, ou il n'a aucun scrupule ou alors, Dioma dafa Diomi. Dans tous les cas, il a définitivement franchi le rubicond quand il s'est résolu à utiliser les niaiseries de plaidoiries en ligne de Seybani SOUGOU, cet originaire de Khourounar, bien embusqué à la Mairie de Paris, pour poser le débat sur l'imparité dans la constitution des magistrats de la cour suprême. Ceux qui ont siégé dans la chambre criminelle ayant maintenu et validé le verdict de condamnation de Khalifa SALL, sont accusés par Seybani de s'être fourvoyés et c'est bien cela que colporte éhontément Assane Diomi Ndiaye. Pour cela il n'a pas trouvé mieux que d'emboucher la trompette d'un des grands frustrés des foras web de l'hexagone, crachant ainsi sur sa légitimité de grand doyen des causes justes.
Quand une icône de cette taille fait une plaidoirie en ligne en utilisant le conditionnel pour faire du soukhlou et annoncer la possible libération de Khalifa à cause d'un défaut de composition, alors on se demande si celui qu'on prenait pour un mastodonte du droit et de la justice sénégalaise n'est pas devenu simplement un paria de la doctrine.
Assane Diomi Ndiaye ne se prive pas de raconter dans les médias de ce matin que la justice sénégalaise est manipulée, et que la cour suprême elle même est gangrenée par la logique d'assouvissement de tout desiderata de l'exécutif. Insulter ainsi la plus haute juridiction de notre pays relève du sacrilège pur et simple. Quelle déchéance pour cet homme qu'on croyait si juste !!!
Il est vrai que les manipulateurs de l'ombre sont puissants et que la tentation est grande pour ces gens de la société civile, supposée équidistante des préoccupations politiques, de profiter ad vitam aeternam des fruits des subventions si gracieusement offertes, des voyages et autres privilèges et de rester parmi les leaders de cette foison d'organisations des droits de l'homme au Sénégal.
Ce qu'on remarque c'est que ces leaders de la société civile ont les mêmes tares congénitales que les leaders des partis politiques qu'ils combattent si ardûment. Ils s'éternisent tous à leur poste et quand ils sont contraints et forcés de partir, comme Monsieur Tine l'attiseur de feu, ils s'empressent de créer une structure parallèle pour renaître comme les monstres, dans les mythologies anciennes. Ils sont omnipotents et irremplaçables et ils œuvrent invariablement à rendre les politiciens plus vertueux. C'est toujours et invariablement le leitmotiv affiché par tous, sur fond de belles paroles et de vœux pieux. On devrait leur accorder la noblesse de la cause civile supposée meilleure que la cause politique, et accepter qu'ils donnent le ton et indiquent les "bons chemins", selon les bons préceptes de ceux qui les manipulent et au nom desquels ils sont promptes à sacrifier notre éthique, nos croyances et nos valeurs, au profit de vices de procédures et de pourvois magiques, sensés libérer n'importe quel délinquant réputé de ce pays.
Oui Assane Diomi, quand un candidat à la présidentielle est un condamné, il n'est pas choquant pour une partie du peuple au moins, que son contentieux juridique soit vidé y compris en usant de la coïncidence avec le calendrier politique, pour que personne ne prenne le risque de voter pour un condamné.
Notre code électoral interdit de vote et d'élection tout condamné pour vol ou escroquerie, même condamné avec sursis, de plus de trois mois. Comment dans ces conditions pouvez vous essayer de nous faire avaler que Khalifa doit être candidat ? Certains brandissent le droit au rabat d'arrêt suspensif (il est claire que le principe même du rabat d'arrêt est qu'il n'est pas suspensif), mais aucun d'eux ne nous a dit ce qui se passerait si khalifa élu voit son rabat débouté. La cohorte de juristes nihilistes est prête à bousiller tous les cours et tribunaux de ce pays pour élire un condamné pour détournement, escroquerie, faux et usage de faux.
Diomi est un état avant la folie, alors je prie pour qu'Allah dans sa bonté infinie, remette notre Assane national sur le droit chemin et qu'il l'amène à songer à promouvoir des jeunes et à débarrasser le plancher. Quand on s'éternise on décroit et on finit par friser l'indécence.
Le Sénégal reste un pays souverain, avec toutes les difficultés d'un pays pauvre et endetté, mais on y rend la justice selon notre bon droit et en toute liberté. Un peu de respect pour nos magistrats!!!!
Pape SARR
Duc de Diapal
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