Clap de fin. Toutes les écuries sont dans les strarting-blokcs et attendent le coup d’envoi des joutes.
Cette campagne aura été l’une des plus abondantes en fake news qui ont donné du fil à retordre aux fact-checkers. Le peu de sujets soulevés par les parties prenantes a donné peu de réponses structurées et convaincante de part et d’autre, que ce soit sur le faux sujet de la capitale, le franc CFA, le million d’emplois promis à la jeunesse, l’industrialisation ou encore de nouveaux droits pour les questions féminines (l’autorité parentale partagée). Les débats quoique intéressants n’ont pas eu les échos qu’il fallait en termes de teneur et de challenge à hauteur de l’importance des problématiques posées. Le parent pauvre de ces sujets a été la question du financement des points programmatiques et la vision stratégique de la déclinaison du financement des programmes.
Au vu de l’engouement qu’a porté cette quinzaine de la campagne électorale on peut reconnaître les mobilisations exceptionnelles de tous bords. Pour autant, cela ne constitue pas un baromètre pour déterminer le vainqueur. Mais d’emblée, deux pôles ravissent la vedette à tous les autres et vont sans doute être ceux qui seront en ballotage pour éventuellement un second tour au cours duquel, nécessairement, des débats doivent avoir lieu entre le qualifiés.
Pour nous citoyens, à nous de jouer notre partition dans ce tournant historique pour un Sénégal qui surgira des décombres de cette période de turbulence que nous traversons ces dernières années. Rappelons-nous de l’hymne de la jeunesse Niaani, (Pour toi ô Sénégal, pays de lumière,[…], nous disons oui à l’appel de l’honneur). Cet hymne que nous apprenions et chantions à l’école primaire, qui nous faisait vibrer inconsciemment, qui nous rend fiers d’appartenir à une seule et même nation, indivisible (qui a failli sombrer d’ailleurs). C’est de ce Sénégal que nous voulons. Affranchissons-nous de ces relents de conservatisme ou d’entrisme politicien et « nous pousserons comme des grands palmiers verts », parce que « nos ancêtres depuis les tendresses noires ont tracé ce chemin, forgé notre destin ». C’est alors que nous reprendrons notre Sénégal.
Un constat reste implacable : 63 ans d’indépendance ont réussi à installer un « consortium d’intérêts » particuliers indéboulonnables, qui à la limite frise l’inceste entre sérails quand leurs intérêts sont menacés. Aujourd’hui, cette accointance a fini de montrer ses limites et qu’il faut accepter le changement de paradigme et tendre vers l'intégration de la sociologie politique ci-après : une jeunesse, frange majoritaire de la population, mais extrêmement politisée et exigeante. Elle appelle à une nouvelle configuration dans les pratiques mais surtout une façon rigoureuse et désintéressée de se mettre exclusivement au service des populations.
Il n’est point question d’expérience, de responsabilité/irresponsabilité, mais la capacité des candidats à porter et répondre strictement à nos aspirations, d’être rompus à la tâche pour assurer un meilleur quotidien à l’ensemble des concitoyens. Ce pays est jeune et les jeunes ont compris depuis 2000, que s’ils décident de voter pour le changement, celui-ci s’opère inéluctablement.
En effet depuis 3 ans, nous vivons l’un des moments les plus difficiles de notre histoire dont il faut panser les plaies une bonne fois pour toutes.
Deux options nous sont offertes : la voie de la rupture, du triomphe de vérité pour faire renaître un nouvel espoir et la voie de la pérennisation des pratiques qui ont conduit dans cet abîme, de la poursuite sans fin du bradage de nos ressources et la dilapidation des deniers publics à des fins détournées au détriment du paysan, de l’éducation, de la santé (nous garderons toujours les 1000 milliards au travers de la gorge).
C’est de ce constat, et avec force que nous espérons, lors de ces élections, en une affirmation véritable du Préambule de la Constitution « le rejet et l'élimination, sous toutes leurs formes de l'injustice, des inégalités et des discriminations », « l'inaltérabilité de la souveraineté nationale ». Au-delà, l’effectivité de l’article 25-1 sur l’utilisation des ressources et des deniers dans la promotion du bien-être de la population et pour le développement économique.
Oswald SARR
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