À entendre Ahmeth Sarr, le coordonnateur de la Dse-Apr-France discourir, il semble que le scrutin de demain est une répétition générale d'une mise en scène d'une victoire déjà acquise d'avance. Parce que l'écho du "terrain" est tellement favorable à leur candidat, qu’ils n’ont pas besoin de trop pousser pour remporter le scrutin.
Toutefois, ils vont affréter des bus pour acheminer leurs militants dans leur centre de vote. C'est la raison pour laquelle ils ont consacré une bonne partie de l'argent alloué à la campagne aux fameux bus qui ont perdu Abdoulaye Wade en France en 2012.
Que des bus soient affrétés aux différentes coordinations et acheminant des personnes dans leur lieu de vote ne veut absolument pas dire que la victoire sera au rendez-vous. La majorité présidentielle en France oublie que malgré qu'Abdoulaye Wade avait déployé beaucoup de bus en 2012 pour barrer la route à Macky Sall.
Mais ce dernier s'est baladé sur le Pape du Sopi. Donc, les bus ne sauraient être un indicateur fiable d'électeurs potentiellement favorables pour un candidat bien identifié.
En 2012, à la montée, les passagers étaient des « Wadistes », mais à la descente, ils étaient des « Mackystes ». Demain à l'issu du scrutin, on saura sur la fiabilité de ses bus qui s'avère être des gagnants-perdants à la fois.
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