Hier, le journaliste-écrivain, Pape Alé Niang, impliqué dans un accident de circulation sur la Corniche a fait l’amère expérience d’une presse en déconfiture. Déjà catalogué "soulard" par des plaisantins bélîtres atteints de la maladie de Joker, le chroniqueur de Dakar Matin a cloué leur bec.
Mais qu'ils étaient hilares. Et la joie se manifestait sur leurs visages. A travers des posts sur les réseaux sociaux, ils peinaient à contenir leur joie. Pendant ce temps, des titres insalubres d'une certaine presse en ligne incendiaient un homme qu'elles pensaient à terre.
La béatitude de voir PAN sous les oripeaux d'un monstre à guillotiner se lisait sur les canaux médiatiques ersatz d'un tribunal haineux contre l'auteur du livre "Scandale au cœur de la République. Le dossier du COUD." Heureusement, Pape Alé a réussi à rentrer chez lui. L'enfer c'est les autres.
L’homme qui fait trembler les tenants du pouvoir a laissé les ogres gardiens dans un deuil cérémonial et cérémoniel. Ils ont loupé la "prise". Pape est un enfant de cœur. Le match n'est pas jouable. Que les diables aillent avec les diables. Pape n'en est pas un, et il ne faut pas lui chercher parmi les diables.
Au bout du bout, aucune charge n'a été retenu contre lui suite à cette tentative de le briser. Car selon un témoin oculaire de cet accident la "voiture de Pape a été heurtée par derrière, et le chauffard a pris la fuite. Et naturellement, la voiture de Pape a rentré celle de devant" selon Sambou Biagui, un confrère qui a assisté au déroulement des faits.
Un détail qui n’est pas négligeable dans le contexte actuel ou Pape Alé fait l’objet d’attaques verbales venant du pouvoir.
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