Sont-ils conscients que cette victoire obtenue en France lors du scrutin du 24 février ne mérite pas d’être fêtée publiquement.
La question mérite tout son pesant d’or. Figurez-vous hier à Boulogne, les caciques de la majorité-présidentielle en France se sont réunis dans leur siège-appartement exigu pour fêter cette victoire qui mérite plus qu’une introspection que d’un pot qui indispose encore des militants mécontents du travail de la Dse-Apr-France.
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