BENNERIES INDIGESTES

Le collectif des citoyens Sénégalais de France pour la sauvegarde et la défense des ressources naturelles voici la nouvelle filière trouvée par Ben je lune le jour et je mens la nuit, et quelques fashion-victimes tombant sous le charme et s'accrochant finalement à ce "Naar" si wolofophone, qui connait si bien la mentalité d'intégration des sénégalais, devant tout ce qui semble étranger et qui exprime bien la coquinerie et la vulgarité sénégalaise.

On ne s'émeut pas devant de telles arrogances quand c'est le fait d'un naar ou un toubab naturalisé sénégalais parfois depuis deux générations au moins. Pourtant à suivre l'activisme politique de cet énergumène des foras de la diaspora de France, on se rend compte que tout n'est que filière pour lui sans équivoque et sans aucune limite et nonobstant les lignes de démarcation entre le civil et la politique. Jaime l'appeler le "marocain brasseur de vent".

Il faut le fréquenter pour comprendre qu'il n'a aucune maitrise des grands préceptes et ceux qui l'ont fréquenté comme moi dans les instances en organisation de la diaspora savent qu'il n'est capable d'aucune production intellectuelle digne de ce nom. Et quand il se bat pour tout diriger c'est juste pour pouvoir s'adosser à des concitoyens plus compétents mais que son complexe de supériorité ne supporte pas d'accepter comme leader. Et quand il ne réussit pas a se hisser a force de manipulation des uns et des autres il se rue dans la presse pour dénigrer et maltraiter ceux qui lui font de l'ombre.

Ce soit disant ingénieur informaticien de Sarclais des années 78 qui n'est en fait qu'un pizzaïolo minable est la seule personne que je connaisse qui a osé insulté le vaillant et brillant Amadou Moctar MBOW lors des consultations et productions des assises nationales en France. Depuis lors, il essaie de caporaliser la diaspora sénégalaise de France trahissant tous ses "amis" fondateurs de l'ASE à la FSD. Et comme il échoue chaque fois il a migré un peu de la société civile a cette société politique qu'il a passe des années à insulter. La mutation s'est lentement opérée dans la cadre de Diaspora plurielle qui passe aujourd'hui pour être un véritable incubateur des candidats à la politique.

Ce cadre a facilité la mutation de personnalités comme Abdou Sonko, Ousseynou SECK qui ont pourtant été très courroucés quand Ben a sauté à pieds joints pour répondre à l'appel de Wade et du PDS. Pour sur il a plus de résonance quand même que Meissa le "mouma" qui dirigeait cette liste. Son échec à devenir député sur la liste du PDS de Wade et sa fracture de l'échine en essayant de faire évoluer les affaires du candidat ATEPA dans la diaspora avaient fini de le refroidir.

Mais le tollé de la publication de BBC sur Aliou SALL et le pétrole au Sénégal est venu redonner un élan à cette vermine vulgaire et incompétente. On le sait une hyène est toujours fourbe et vile et tout ce qui ressemble au malheur de quelqu'un reste une source de joie et d'élévation pour elle. "Ben je mens" s'en donne à coeur joie réussissant même la prouesse de faire croire qu'il a réussi avec son groupe à faire plier l'ITIE sur sa vision du Sénégal lors du dernier Conseil d'administration. Le pire c'est qu'il communique dessus et il y'a certainement des gens pour l'écouter et peut être même le croire. Pourtant la seule chose à retenir de ce conseil devrait être l'acceptation du Sénégal au CA et sa posture de représentant des africains de l'ouest à côté du Mali. Il vaut mieux croire notre brillante consœur et non moins Professeure Awa Marie Coll Seck que s'encombrer avec les éternelles conjectures de "Ben j'affabule". "Ben je perturbe" continue de courir derrière une reconnaissance qui justifie tout son mal être que jamais aucun savoir être n'a jusqu'ici réussi a lui octroyer. Pas même quand Gadio, son ami (de plus de 40ans) de chambre et de faculté à été ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur sous Wade. Quand on connait l'animal on ne lui accorde aucune sorte d'importance, mais la diaspora se renouvelle sans cesse et les nouvelles générations ne peuvent pas quand elles arrivent, se défaire de l'existant et "Ben je m'éternise" est toujours là. Il sera sans cesse abandonné pour ses fourberies, son complexe et son manque de franchise. Il faudrait presque convaincre l'Etat, de lui trouver une occupation de légitimation et un salaire à la mesure de sa folie. Car "Ben je flippe" vieillit et cela augmente chez lui la frayeur d'avoir échoué à tout. Il a échoué à ses études échoué à s'enrichir, échoué a atteindre la posture civile ou politique qu'il pense être digne de son rang de Naar bou khess chez les prognes.

"Ben je désespère" peut continuer a chercher des sénégalais à manipuler, ils ne s'appelleront certainement pas Mbaye Diouf, Jules BA, Mansour Mbaye, ou Bamba Lindor. Peut être qu'il y'a encore des curieux pour l'écouter mais des crédules pour le suivre c'est fini pour de bon. Tant que la pizzeria marche encore il ferait mieux de retourner à ses fourneaux. A bon entendeur.....

Pape SARR
Duc de Diapal