L’accès à l’eau potable et à l’assainissement est un droit fondamental. Un droit considéré comme une condition nécessaire pour «l'atteinte des objectifs de l'ONU en termes de santé publique, de bonne gouvernance et de développement durable». Sans cet accès à l’eau aucun développement économique n'est viable.
Cependant, nous notons que les coupures d’eau sont devenues monnaie courante au Sénégal. Les images de Sénégalais à la recherche du liquide précieux dans les rues sont rentrées dans nos habitudes. Ce qui nous désole profondément car nous imaginons le supplice et l'indisposition que peuvent causer le manque d'eau pour un être humain. Au demeurant, la Sénégalaise des eaux annonce une coupure de 5 jours aux populations de Dakar, Capitale sénégalaise.
Les Jeunesses Khalifistes de France trouvent cette situation inacceptable et exhortent l’État sénégalais à trouver les voies et moyens d’éradiquer ces coupures intempestives d'eau une bonne fois. Elles demandent à la SDE de respecter ses engagements et les droits du consommateur de lui fournir le service attendu. Si le Sénégalais paye sa facture en temps et en heure et qu’il se retrouve privé d'eau pendant 5 jours, nous jugeons que la moindre des choses c’est que la SDE procède à un dédommagement équivalent à la gêne occasionnée.