Pour cette année, un constat s’impose. La pandémie de la Covid 19 est dévastatrice sur tous les plans. 2020 demeure une si longue année inoubliable pour l'humanité car la Covid 19 y a laissée ses empreintes mortelles et angoissantes. Des riches, des pauvres, des célébrités, des quidams, personne n'est épargnée par ce virus mortel.
Bouleversant l'ordre mondial, un terme cher aux dirigeants du monde qui constatent l'effort pénible surclassé par un virus incontrôlable. Dans cette catastrophe universelle, l’Afrique, le continent qui suscitait de la pitié a été moins éprouvée par cette pandémie malgré un système de santé sujet à caution.
Le miracle africain contraste avec la surmortalité dans les grandes puissances qui pensent cerner et maîtriser "tout", sauf ce virus pour l'instant. En une année où les doctrines politiques, sociales, économiques ont changé profondément, obligeant l'humanité à s'y plier sans transition aucune qui régit en général les mutations sociales.
Nos libertés élémentaires sont désormais sous contrôle, contraintes à la doctrine qu'imposent les mesures de l'OMS pour venir à bout d'un virus qui persiste. 2020 quelle année ! Du jour au lendemain avec brutalité, les liens sociaux sont repensés. Repli sur soi-même, masques, interdiction de se serrer la main ou de se rassembler deviennent la règle.
Une parentalité virtuelle, propulsée par les nouvelles technologies de l'information et de la communication, nous est imposé davantage par la Covid. Décidément, cette année 2020 aura été de celle de la réalisation des impensables. Qui aurait cru que plus de la moitié de l’humanité aurait pu être confinée ?
2020 est année inachevée car nous sommes partis pour vivre 2021 comme l’humanité a vécu l’année précédente. Nous entrons aussi dans la nouvelle année avec le même vocabulaire de l’année 2020. C’est-à-dire, gestes barrières, confinement, couvre-feu. Vivement la vraie fin de l’année 2020.